Pauvre jeunesse.

Je me souviens du temps ou j'écoutais de la musique sur nos vieux tourne disques. Le son à fond. Seuls nos parents nous réprimendaient. Puis il y a eu les cheveux longs, mini pull, mini jupe. On partaient en stop, pour les vacances, pour aller chez les potes, pour tous nos déplacements. Puis la mobylette, trafiquée au max, roulait à plus de cent km/m en faisant un bruit du tonner. Ensuite les motos. Casque obligatoire en dehors des agglomérations, vitesse illimité toujours hors agglomération. Mais je me souviens des bourres en ville à plus de 140km/, voir à fond de manette. Pour le boulot, on se permettait de négocier nos salaires, une réflexion du patron et on partait. Le lendemain on reprennait dans une autre boite. En plus on se plaigait, c'est vrais, pas d'infractusture de sport digne de ce nom. Pas d'endroit pour les jeunes pour ce défouler sans nuire à l'environnement (les adultes, les vieux). Il y avaient les boums, puis les boîtes de nuits et les bals. On embalait et avec un peu de chance on faisait l'amour n'importe où, sans ce soucier. Sauf de ne pas faire de gosse.

Puis les choses on changer; Les premières mesures préventives et répressives sont apparues. Le port du casque obligatoire, les vitesses limitées, l'interdiction de faire du bruit, port de la ceinture, puis les pendémies, telle le chômage, le SIDA,...

Nous avons connu des momments fabuleux de liberté, ou tout était possible. Maintenant quel avenir à notre jeunesse !!!!! On entre dans la vie active par le chomage, on est payé au SMIC, voir moins.

J'ai presque honte du monde que l'on va laisser à nos enfants. Pauvre jeunesse, je n'aimerai pas être jeune aujourd'hui.