Bouc Garou

Moi au boulot, pas toujour heureux d'y être; Vivement la retraite.

Souvent nous cherchons le bonheur et parcourons le monde à sa recherche. Alors qu'il suffit de regarder autour de soi, ouvrir les yeux pour le trouver.

En ce monde, tout naît, tout vit, et tout meurt. La seule diférence est l'échelle des temps.

Je me souviens du temps ou j'écoutais de la musique sur nos vieux tourne disques. Le son à fond. Seuls nos parents nous réprimendaient. Puis il y a eu les cheveux longs, mini pull, mini jupe. On partaient en stop, pour les vacances, pour aller chez les potes, pour tous nos déplacements. Puis la mobylette, trafiquée au max, roulait à plus de cent km/m en faisant un bruit du tonner. Ensuite les motos. Casque obligatoire en dehors des agglomérations, vitesse illimité toujours hors agglomération. Mais je me souviens des bourres en ville à plus de 140km/, voir à fond de manette. Pour le boulot, on se permettait de négocier nos salaires, une réflexion du patron et on partait. Le lendemain on reprennait dans une autre boite. En plus on se plaigait, c'est vrais, pas d'infractusture de sport digne de ce nom. Pas d'endroit pour les jeunes pour ce défouler sans nuire à l'environnement (les adultes, les vieux). Il y avaient les boums, puis les boîtes de nuits et les bals. On embalait et avec un peu de chance on faisait l'amour n'importe où, sans ce soucier. Sauf de ne pas faire de gosse.

Puis les choses on changer; Les premières mesures préventives et répressives sont apparues. Le port du casque obligatoire, les vitesses limitées, l'interdiction de faire du bruit, port de la ceinture, puis les pendémies, telle le chômage, le SIDA,...

Nous avons connu des momments fabuleux de liberté, ou tout était possible. Maintenant quel avenir à notre jeunesse !!!!! On entre dans la vie active par le chomage, on est payé au SMIC, voir moins.

J'ai presque honte du monde que l'on va laisser à nos enfants. Pauvre jeunesse, je n'aimerai pas être jeune aujourd'hui.

Depuis l'élection de la droite, (je ne suis pas de gauche pour autant), nous avons fait un sacré bond, un bond de plus de deux siècles en arrière. A cette époque, les nobles appelaient les travailleurs, " Le bas peuple ". aujourd'hui notre cher premier ministre, le bossu de service, nous traite de  "France d'en bas". Quelle évolution!!!

Les mêmes propos, les mêmes objectifs. S'enrichir sur le dos du peuple, s'ocrtroyer des privilèges, détenir le pouvoir. On nous bafoue, on remet en cause tous nos acquis sociaux, on nous rackette. L'augmentation inéxorable et intolérables des impôts, des prix de consommation de première nécéssité, des taxes toust azimut. Réduction des aides sociales, des remboursements de la sécu, etc...

Par contre, augmentation du chômage malgré tous les artifices pour essayer de cacher les chiffres réels. Pour atteindre leurs objectifs de rentablité, de l'objectif des profits escomptés, on nous licencie dans le cadre des "compétitivités" alors que les Patrons se remplissent les poches de millions d'euro, des actionnaires qui ne voient que les dividendes et aucune pensée pour ceux qui sont à la base de leur fortune. Des banquiers (de toute façon, les mêmes, c'est blanc bonnet et bonnet blanc), qui s'engraissent en augmentant outrageusement les întérets des emprunts. Tuer les entreprises qui ont des difficultés sans le moindre remord. Ils s'en moquent, si elle capote, on la revends et jette le personnel.

Aujourd'hui on nous demande de travailler plus avec des salaire diminué. On nous prend un jour férié pour l'aide aux personnes âgées suite à la canicule. Foutaise, on nous fait travailler un jour férié les profits sont pour les patrons, les vieux n'en verrons jamais la couleur. Il faudrait qu'ils nous disent comment le fruit de notre labeur serra reversé pour l'aide et ce qu'ils compte faire . Pour l'instant rien que le fait qu'il faut donner ce jour!! On doit être content d'avoir la chance de travailler pour ceux qui on cette chance. La ruine du pays arrive à grand pas. Nous serons le quart monde de l'Europe.

Plus sîmplement; On nous prends pour de CONS.

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais une rivière tumultueuse où on essaye de garder la tête hors de l'eau.

La vie est un tourbillon qui vous attire par le fond. On s'accroche à des planches de salut pour rester en surface. Mais les planches ne sont pas les mêmes pour tout le monde.